Quand j’ai lu « Le Couplet de la Rue de Bagnole » j’ai pensé à une rue à Saint Martin-de-Nigelles, France. Je ne me souviens pas le nom de la rue, mais elle est ma rue préférée du monde. J’ai des amis de la famille qui habitent là-bas. Il y a un petit pont sur une crique avec des saules pleureur sur les rives de la crique. La rue est si pittoresque. Rien n’est similaire. Quand je me promène sur la rue, je suis heureuse comme rien mauvais ne peut se passer.
Normalement, je suis là pendant août quand le temps est parfait et le soleil se couche tard. J’aime me promener au crépuscule, quand le soleil se couche et je peux voir mon ombre devant moi. Tous les soirs je me promène jusqu’au pont et puis je retourne à la maison, en courant après le soleil qui veut se cacher sous l’horizon.
Quand je rentre chez mes amis, je peux voir la rue par ma fenêtre. Comme l’auteur du couplet, c’est vraiment l’endroit le plus heureux du monde, selon moi. Il est tranquille ; tout se semble parfait. Les couleurs des fleurs, du soleil, voire des ombres sont parfaites. Et quand le soleil se couche, il n’est « pas comme les autres. »
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